Fisker

Publié le par La rédaction

L'Allemande Californienne

Enri Fisker fait partie des génies de ce monde. Designer talentueux, il nous a offert l'Aston Martin DB7, et inspiré la suite. Aston Martin est aujourd'hui un constructeur admiré à travers le monde, n'est plus le simple symbole de James Bond, mais celui de tous ceux qui aiment les belles voitures, offrant une concurrence au cheval cabré. Enri a donc décidé de voler de ses propres ailes tel Pégase, et de créer sa marque. Le look est le sien, et par là même, celui d'Aston.

Qui aime Aston, aimera Fisker

Un coupé et un cabriolet pour commencer. Et, tel Pagani, pour un premier modèle, ça décoiffe fort ! Au volant l'espace d'une journée, il nous a été permis de voir à quel point ses voitures étaient abouties. Finition, agrément de conduite, confort à bord égalent les marques centenaires. Fisker perpétue la tradition des petits constructeurs anglais, et sur la route, l'âme du modèle vit bel et bien. Un tel aboutissement cachait forcément quelque chose. Les bases de ces deux modèles sont en effet issus d'une BMW série 6 pour le coupé et d'une Mercedes SL pour le roadster. Le moteur, un V8 5.5l de 476ch chante ses vocalises cent mètres à la ronde pour le bonheur de tous. La voiture accèlère fort, sans être brutale, la direction, très précise, permet de guider la voiture sans crainte dans les virages serrés de la campagne anglaise. Arrivé en ville, les têtes se retournent pour admirer la belle. Très peu la reconnaissent, beaucoup la confondent. Fisker offre une alternative a moindre coût pour acceder au style anglais, sans être en deça; une classe a pàrt.

Publié dans Essai Auto

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